Trois à cinq verres de vin par jour, un
peu moins pour les femmes, au cours des repas, et régulièrement, c’est le secret de la bonne
santé.
Le vin contient en effet des sels minéraux, des oligo-éléments, des vitamines du groupe
B, et des polyphénols, ces molécules antioxydantes, anti-inflammatoires et
antimicrobiennes.
Les polyphénols augmentent notamment la résistance de la paroi vasculaire, diminuent
les risques de thrombose et préviennent l’artériosclérose.
Grâce aux polyphénols, le vin de qualité, consommé avec modération, diminuerait, selon
certaines études, de 40 % les infarctus et de 25 % les risques de thrombose.
Une étude française concernant plus de 34 000 personnes a démontré qu’une
consommation régulière de un à trois verres de vin permettrait une diminution de la mortalité
cancéreuse de 20 %. En revanche, avec 5 verres de vin par jour, le risque
augmenterait.
Mais ce n’est pas tout. Ceux qui boivent 20 à 50 cl de vin par jour auraient un risque
diminué de 75 % d’être touchés par la maladie d’Alzheimer.
Enfin, le vin, mais on le savait, est le meilleur et le plus sain des euphorisants.
Il diminue ou supprime le stress.
Et, en plus, il donne ses lettres de noblesse à la gastronomie.
Que demander encore ? Ah oui, qu’il soit vin de plaisir et aussi bien fait que
possible.