En 1630, une épidémie de peste décima Toulouse. Tout le
monde mourut, ou presque (50 000 morts en 4 ans). Sauf quatre voleurs, pris sur le fait en train
de piller des maisons et de détrousser des cadavres. Les quatre voleurs n’acceptèrent de
révéler leur secret qu’en échange de leur liberté, ce qu’on leur promit. Ils racontèrent qu’ils
s’enduisaient le corps d’un vinaigre de leur composition. Ils en buvaient aussi
quotidiennement.
Entraient dans la composition de ce remède miracle à base de vinaigre de vin, du
romarin, de la sauge, de l’ail, de la menthe, de la cannelle, de la muscade, de l’ail, du
camphre, etc.
Les autorités eurent aussi peu de moralité que leurs prisonniers puisqu’elles les
pendirent quand même.