Alain Coumont et Le Pain Quotidien font un nouveau pas dans le sens des produits certifiés biologiquement.
Après les pains, les viennoiseries, les produits méditerranéens Mahjoub et autres, ils lancent une gamme de chocos «bio» composée de 4 saveurs chocolat et noisette: Choco Blondie (saveur chocolat blanc pur), Choco Brunette (goût praliné), Choco Noisella  (mélange de chocolat et noisette) et Choco Noir (saveur chocolat noir).

L’assortiment est produit de manière artisanale à base de chocolat belge.

D’autre part, les tablettes de chocolat Noir Extra certifiées Bio nouvelle formule comportent un pourcentage accru de cacao : 74%. Elles contiennent aussi  moins de sucre et moins de matières grasses. Elles sont également proposées en petits formats. En alternative à la portion de nougat bio, elles sont à découvrir en miniatures avec le café servi sur place.

Vous reconnaîtrez les chocos et les tablettes à leur macaron «bio».

Choco Blondie, Noisella, Noir : 4,90€ le pot de 400 gr

Brunette : 5,90€ le pot de 400 gr

La tablette de chocolat Noir Extra : 2,40€

A acheter ou à déguster dans tous les magasins Le Pain Quotidien.
Une bonne idée : intégrez-les dans un panier cadeau Â«bio».

Krug 1928 a remporté le record de la bouteille de champagne la plus chère au monde lors d’une vente aux enchères organisée fin mars à Hong Kong par Acker Merrall & Condit.

A l’issue de plusieurs tours d’enchères, une bouteille de  Krug Collection 1928 a été adjugée à 164.560 HK$ (21.200 US$), bien au-delà de l’estimation la plus haute établie à 120.000 HK$.  

 Selon la grande prêtresse du champagne Serena Sutcliffe MW, directrice du département vins chez Sotheby's, le Krug 1928 est l’un des plus grands champagnes jamais élaborés.

Un millésime d’exception

Ce Krug Collection est l’une des toutes dernières bouteilles d’un millésime d’exception.

Une absolue rareté, l’expression ultime de la longévité légendaire des champagnes Krug.

De nombreuses raisons peuvent justifier son incroyable succès.

-       La  réputation de la maison Krug.

-       Sa philosophie de vinification qui était, à l’époque, exactement la même qu’aujourd’hui : une série de choix qui, bien que susceptibles d’être reproduits lorsqu’on les considère séparément, forment ensemble la signature de Krug.

-       Une méticuleuse sélection des raisins, des vignobles et des vignerons qui dépasse la seule approche  de la variété.

-       Une première fermentation exclusivement réalisée en petits fûts de chêne pour permettre à chaque vin  de développer son propre caractère avant de jouer sa partition dans l’assemblage.

-       Un processus et un choix d’assemblages réalisés personnellement par la famille Krug.

-       Un long vieillissement en caves avant la commercialisation de la cuvée : le Krug 1928 a été   commercialisé au Royaume Uni en 1939, au tout début de la guerre.

-       L’impatiente attente par les experts de ce millésime extraordinaire.

-       La rareté du Krug 1928, accentuée par l’absence de bons millésimes au début des années 1930.

 
Des conditions parfaites

En 1928, le climat était en tous points idéal, avec une excellente alternance de soleil, de chaleur, de sécheresse et de pluie. Les raisins étaient superbes. Les vendanges ont eu lieu fin septembre : parfait équilibre entre une haute teneur en sucres et un haut niveau d’acidité (importante pour le potentiel de vieillissement).

Le Krug 1928 a gagné en amplitude, profondeur, complexité, et développé d’étonnantes notes d’abricot et de miel tout en retenant ses vibrations, sa fraîcheur et sa vitalité en bouche, avec une mousse fine tout en modération.

Un pur nectar des dieux. Un amoureux de Krug l’a décrit un jour comme «un Yquem à bulles délicates et sans sucre», raconte Olivier Krug.

 La maison Krug, créée en 1843, c’est une collection de six champagnes extraordinaires : Krug Grande Cuvée, Krug Rosé, Krug Vintage, Krug Collection, Krug Clos du Mesnil et Krug Clos d'Ambonnay. Depuis 1999, elle fait partie du groupe LVMH, leader mondial du luxe et est distribué internationalement par Moët-Hennessy.

   

Entièrement rénové, l'Hôtel Sheraton Brussels Airport a récemment inauguré son nouveau restaurant Gullivers. Conçu pour une clientèle internationale, ce nouveau restaurant-bar-lounge est élégant et sophistiqué à la fois.

Le créateur d'intérieurs néerlandais FG Stijl, choisi pour la décoration du restaurant, a utilisé des matières telles que le cuir et le bois foncé.  La palette de couleurs - du vert tilleul au noir, en passant par des tons cognac - lui donne une touche naturelle de fraîcheur.

Mais si l'espace a été modifié, le Sheraton a conservé son Chef Dominique Gaudemer, aux commandes depuis plus de 20 ans. En 1988, après avoir fait ses armes dans plusieurs restaurants (doublement) étoilés français et dans des grands restaurants belges, il a rejoint l'équipe du Sheraton Brussels Airport. Assisté par Olivier Gibouin, il a créé une carte variée, composée de spécialités internationales aux accents belges. 

Le Gullivers est également un endroit agréable et accueillant pour boire un verre au calme, en attendant le décollage de son avion. Une large sélection de vins du monde entier, de bières et d'eaux minérales est proposée au bar.

Pour plus d'information ou pour une réservation : www.restaurantgullivers.com ou www.sheratonairport.be 

L'hôtel Sheraton Brussels Airport

L'hôtel Sheraton Brussels Airport a ouvert ses portes en 1989. C'est le seul véritable hôtel à proximité (39 pas seulement !) de l'aéroport de Zaventem, juste en face du terminal des départs et à 20 minutes à peine du centre de Bruxelles ; c'est l'endroit idéal pour se reposer entre deux vols, pour une rencontre entre collègues ou pour une escale avant un vol trop matinal. L'hôtel dispose de 294  chambres spacieuses et élégantes, récemment rénovées et de 20 salles de réunions et banquets équipées des technologies les plus modernes, idéal tant pour les voyageurs d'affaires que pour les organisateurs d'événements. L'Atrium complétement refait possède, à présent, la plus grande salle de réception de Bruxelles et environs.